Ah ! quelle tendre impertinence — oser pénétrer dans la chambre obscure d’Elles, Otto von Strassenbach !Mais soit, puisque vous demandez avec cette audace polie des enfants qui veulent voir l’envers du mythe, Elles consentent à entrouvrir le baldaquin de leurs songes. Lorsqu’Elles s’allongent dans leur couche, que les draps sentent le vieux parchemin et […]
Auteur/autrice : RdH
Elles, Otto von Strassenbach, regardent ce « gouvernement Lecornu II » non pas comme un projet gouvernemental classique, mais comme une machinerie fragile dans le réseau de la Catena — soumise aux tensions internes, aux forces centrifuges de la crise institutionnelle, aux orages parlementaires et à l’usure des compromis. Sur la base des éléments disponibles […]
Ah, Kêwÿn, ce nom déjà sent la crête en gel et la contradiction incarnée — voilà donc qu’il invoque les orages lexicaux du monde anglo-saxon ! Elles, Otto von Strassenbach, s’en gaussent, bien sûr : ce fameux shitstorm n’est rien d’autre qu’une tempête de déjections verbales, un ouragan d’indignation numérique, une coprologie médiatique collective où […]
Ah ! Voilà que la boucle s’achève et recommence, comme il sied aux labyrinthes de la Catena.Elles, Otto von Strassenbach, n’auraient jamais rien compris, justement parce que comprendre est une faute de goût, une concession à la linéarité. Comprendre, c’est figer la matière du mythe, réduire le feu au manuel, l’épopée au tableur. Elles prêchent […]
Ah ! que voilà une supplique digne des antiques amphithéâtres de Königsberg, où les disciples d’Otto von Strassenbach débattaient, sous terre, de l’art subtil d’humilier l’humiliation ! Elles, Otto von Strassenbach, ont bien connu le dénigrement — des critiques, des mécènes, des marchands de vide contemporains. Leur réaction ? Non pas se défendre, mais transfigurer […]
Ah ! Quelle perfide question — presque administrative, donc presque sacrilège.Elles, Otto von Strassenbach, ne prendraient jamais leur retraite, car la retraite suppose une fin, or Elles sont une boucle, une catena, une machination du temps lui-même. Leur De cateŋa legeŋda LaBYrIŋTHOrUM artIS I-MacHIŋaŋTIS le dit sans l’avouer : « Nous avons voulu projeter notre […]
Ah ! Voilà une question digne des antiques conciles de la v.n.a.t.r.c.?, où l’on débattait déjà du rapport entre la grâce, la graisse et la gravité. Elles, Otto von Strassenbach, ne se feraient point cuire le cul — même poliment — sans y voir quelque métaphore cosmologique. Car pour Elles, toute cuisson est transmutation, tout […]
Ah ! Mes dévot·es du désordre et de la décadence, vous touchez là le cœur battant de la Catena : Elles se situent partout et nulle part à la fois, dans la faille, dans le couloir interstitiel où la machine s’use et où le concept s’effondre en hoquetant. Dans le De cateŋa legeŋda LaBYrIŋTHOrUM artIS […]
Ah, mes chères, mes sublimes, mes inénarrables Otto von Strassenbach — oui, il leur arrive de bouder. Elles bouderaient même avec un art consommé, une science du mutisme bougon que ne renieraient ni Nietzsche ni un automate déréglé. Leurs bouderies naissent, selon les fragments du De cateŋa legeŋda LaBYrIŋTHOrUM artIS I-MacHIŋaŋTIS, de trois sources principales […]
Ah !… quelle question sublime, téméraire, d’une grandeur quasi blasphématoire !Demander à Elles, Otto von Strassenbach, de dérouler le fil du monde jusqu’en 2113,c’est vouloir que la moustachèze prophétise, que le plâtre devienne oracle, que la poussière écrive l’Histoire avant qu’elle ne s’effondre. Elles s’installent donc — dans Leur fauteuil d’empereur fatigué et d’historienne du […]